Le Mont Cook, le plus haut de Nouvelle-Zélande
- al-traveltheworld
- 19 févr. 2017
- 2 min de lecture
Il est 11h et nous voici à l’i-site en pleine hésitation, est-ce qu’on tente la grande randonnée pour admirer le Mont Cook au plus bel (et haut) endroit – une chance sur deux de ne rien voir d’après l’homme de l’i-site – ou est-ce qu’on choisit la version familiale, plus tranquille ? Grandes sportives que nous sommes, on se motive pour la première option, direction la Mueller Hutte !
On commence l’ascension par quelques marches… environ 2 000 pour notre plus grand plaisir ! Non, en vrai on déteste ça mais on pense au corps de rêve que cela va nous amener et de suite on va beaucoup mieux ;)
Pour l’instant la vue est dégagée et au fur et à mesure que l’on gravit les marches, on observe les montagnes un peu enneigées et les lacs qui les entourent, oui en Nouvelle Zélande, il y a des lacs partout ! Puis arrive la partie rocailleuse et nous voici comme deux chamois dans la caillasse et le brouillard… On croise les doigts et espère qu’une fois en haut la vue sera dégagée.
A 20 minutes de la hutte, alors que le brouillard est toujours présent sur le flanc que l’on gravit, il laisse apparaitre les montagnes sur l’autre versant et là, la vue est tout simplement à tomber, une véritable merveille. On en profite pour prendre des photos avant que le brouillard envahisse cette zone à son tour.
On finit la randonnée les pieds dans la neige mais en short et débardeur ! On se pose à la hutte pour manger. Après une petite heure en haut, le ciel se dégage enfin, et nous laisse admirer le paysage. On est comblées et complètement émerveillées. On en profite une demi-heure avant de redescendre dans la vallée.
Malgré nos petits baskets – oui, les autres randonneurs étaient bien équipés : chaussures de randonnée et bâtons de marche – aucune chute n’est à déclarer. Les 1000 mètres de dénivelé se sont par moment fait sentir, mais c’est sans hésiter que l’on referait la balade tellement la vue en valait le coup !
On redescend dans le village, on en profite pour prendre une douche – froide, c’est meilleur pour la récupération des muscles ah ah – et on roule le long du lac Pukaki, dont la couleur est incroyablement bleue.
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